Pour le modèle de relation entre l’homme, l’animal, le couvert végétal et le climat qu’illustre cette pratique pastorale qui, bien que multiséculaire, s’est toujours adaptée aux changements en cours, et reste d’actualité,
Pour le rôle que jouent ses élevages dans l’équilibre, la diversité naturelle et les paysages des milieux pâturés, des plaines littorales aux alpages d’altitude,
Pour les produits de qualité issus de l’élevage ovin transhumant, la viande et la laine notamment, qui, demeurant soumis aux cycles naturels de l’herbe et de l’animal, échappent à l’industrialisation et relèvent d’une agriculture « propre et responsable », participant à l’identité des territoires et répondant à tous les critères du développement durable…